C’est un employé, qui fait non non non non 

Depuis le début de la crise sanitaire, l’« antiwork » prend de l’ampleur aux Etats-Unis. Comme son nom l’indique, il s’agit de travailler le moins possible, souvent à son compte, et consacrer la majorité de son temps libre à ses loisirs. Si elle peut parfois être prise à la légère, cette tendance représente néanmoins un risque majeur pour les entreprises qui peinent à recruter, malgré la hausse des salaires. Le Financial Times s’est donc penché sur les raisons principales de ce phénomène dont, parmi elles, la démotivation des salariés face à des emplois dénués de sens ainsi qu’un accompagnement managérial imparfait. Des points à… travailler pour mieux recruter.

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